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GOWLINGS : PRIORITÉ À L’INDUSTRIE
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Nous avons constitué de solides équipes pluridisciplinaires pour épauler les industries clés du Canada. Les solutions créatives que nous fournissons sont le parfait alliage d’expertise éprouvée, de connaissances en matière de réglementation et de sens aigu des affaires.
Il y a une raison pour laquelle Gowlings se classe de façon constante parmi les meilleurs cabinets juridiques du pays : notre culture de l’innovation motive nos professionnels à sortir des sentiers battus et à ainsi fournir à nos clients des solutions sur mesure efficaces et à valeur ajoutée.
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DROIT DES AFFAIRES : L'UN DE NOS DOMAINES PILIERS
Vous avez besoin de Gowlings
Depuis plus d’un siècle, Gowlings aide les entreprises à atteindre leurs objectifs et même à les dépasser. Aux petites entreprises locales en démarrage comme aux multinationales de taille, nous offrons continuellement à nos clients un avis exceptionnel sur l’industrie, une expérience inégalée et une large gamme de services exhaustifs dans le domaine du droit des affaires.
Que vous souhaitiez lancer un appel public à l’épargne, que vous fassiez une acquisition majeure, que vous restructuriez votre entreprise ou que vous ayez besoin d’un avis d’expert en affaires, Gowlings a une solution efficace et avisée qui répondra à votre situation unique. Grâce à notre leadership légendaire dans presque toutes les pratiques en droit des affaires, nous tirons profit de notre grande expérience dans les domaines cruciaux comme les services financiers, l’immobilier, le litige, les souscriptions privées, la fiscalité ainsi que le prix de transfert, pour résoudre le plus complexe, ou le plus simple, des problèmes juridiques.
Faire le lien entre les nations
À titre de l’un des cabinet d’avocats chefs de file au Canada en droit des affaires, nous dispensons des avis inégalés aux entreprises nationales et étrangères sur le paysage concurrentiel mondial et sur les tendances économiques émergentes. Que vous envisagiez d’établir une entreprise au Canada ou de percer le marché international, nous vous proposerons les bonnes solutions pour vous aider à maximiser vos occasions d’affaires.
Nos clients accordent de la valeur à notre grande expérience dans l’industrie et ils nous font confiance dans la gestion tant de leurs transactions d’importance capitale que de leurs activités quotidiennes. Puisque nous mettons l’accent sur les industries importantes, notamment l’énergie et l’infrastructure, les services financiers, les relations gouvernementales, les sciences de la vie, la fabrication, la distribution et la technologie, nos clients savent qu’ils obtiennent toujours l’équipe juridique la plus expérimentée et la plus spécialisée de Gowlings.
Service exceptionnel partout et à tout moment
Grâce aux sept bureaux au Canada ainsi qu’à une présence dans les villes de Londres et Moscou, nos professionnels fournissent un service mondial homogène et une réponse immédiate dans plus de 50 langues, dont l’anglais, le français, l’espagnol, le grec, l’italien, l’allemand, le mandarin et le russe.
Pour en apprendre plus sur l’ensemble de nos pratiques, visitez : gowlings.com/Services/
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GÉNÉRALITÉS
En termes généraux, le droit commercial est une partie du droit privé spécifique au droit des affaires régissant l'exercice de la profession de commerçant et définissant le régime juridique applicable aux actes de commerce.
En somme, le droit commercial est l’ensemble des règles qui définissent l’activité commerciale. Définit souvent comme le droit des commerçants, le droit commercial, au sens large, est aussi défini comme le droit de l’acte de commerce.
Le droit commercial est en quelque sorte le domaine du droit qui gouverne les actes de commerce, les sociétés commerciales et les commerçants.
Au Québec, il est de source provinciale et fédérale. Dans la législation fédérale, quelques-uns de ses aspects peuvent être identifiés notamment dans la loi sur les sociétés par actions, la loi sur les lettres de change et la loi sur les banques. Même s’il est considéré comme une branche du droit privé, il est utile de signaler que plusieurs de ses aspects touchent au droit public (droit international, droit administratif, droit fiscal).
ACTE DE COMMERCE
L’acte de commerce est l’action d'une personne ou d'une société qui par profession se livre habituellement à des opérations commerciales. Si l'acte est accompli par un non-commerçant, il devient un acte de commerce uniquement dans le cas où il est effectué dans le but d'exercer un commerce et qu'il est indispensable à l'exercice de celui-ci.
Précisément, un acte de commerce est un acte ou un fait juridique soumis aux règles du droit commercial. Les actes de commerce sont par leur nature des actes civils mais ils deviennent actes de commerce s'ils sont accomplis par un commerçant pour les besoins de ses activités d’affaires. (ex: souscription d'une assurance ou d'un emprunt pour ses fins commerciales)
Les actes de commerce les plus courants sont l'achat pour revente, les activités industrielles et les prestations de services.
DROIT COMMERCIAL
Le droit commercial est la branche du droit privé qui traite principalement de la fourniture, à des fins lucratives, de biens ou de services par les marchands et autres commerçants. Spécifiquement, cette branche du droit aborde notamment les thèmes suivants :
Ces thèmes sont souvent liées par le truchement d'une opération contractuelle et commerciale entre deux parties. L’exemple suivant illustre cette situation de lien existant entre les parties :
« Un commerçant vend des marchandises à un acheteur qui doit pour sa part, prendre des dispositions pour leur expédition. Cet opération implique la conclusion d'un contrat de transport des marchandises (par terre ou par mer) avec un transporteur, lequel délivre un acte (un « titre documentaire »), qui peut être un effet négociable ou non négociable.
En cours de transport, les marchandises sont couvertes par une police d'assurance (« terrestre » ou « maritime ») contre la perte ou les avaries. Dans cette acte de commerce, l'acheteur doit payer au moyen d'un effet négociable qui, dans les opérations commerciales internes, consiste normalement en un chèque tiré sur sa banque en faveur de celle du vendeur. Dans les opérations internationales, le paiement sera généralement effectué au moyen d'une lettre de crédit bancaire. »
DROIT DE LA VENTE
Le droit de la vente détermine les droits et les obligations du vendeur et de l'acheteur dès lors que le contrat lui-même ne les énonce pas entièrement. Les obligations du vendeur sont généralement plus coûteuses : non seulement il doit livrer à la date convenue des marchandises dont la quantité et la description sont conformes au contrat, mais il doit également fournir des marchandises vendables et négociables sur le marché.
Si le vendeur ne remplit pas ses obligations, il pourra être tenu de dédommager l'acheteur des pertes subies, lesquelles pourraient être très considérables. Toutefois, dans un contrat bien rédigé, la responsabilité du vendeur à l'égard des marchandises défectueuses est presque invariablement limitée. Dans un contrat standard, les obligations principales de l'acheteur sont d'accepter les marchandises et de les payer comme convenu.
Au niveau fédéral, la loi sur les lettres de change porte sur les types d'instruments de paiement suivants :
COMPÉTENCES EN MATIÈRE DE COMMERCE
Les compétences et les pouvoirs de réglementer les opérations commerciales sont répartis entre les gouvernements fédéral et provinciaux. Au Québec, le droit commercial tire ses origines du Code Civil français, alors que dans les provinces anglophones, le droit commercial est d’inspiration britannique. Cependant, tant au provincial qu’au fédéral, les règles pertinentes au droit commercial ont pour la plupart été codifiées.
Aujourd’hui, toutes les provinces ont adopté des lois quasi identiques concernant la vente d'objets, à l’exception de certaines lois dont notamment : la loi sur les lettres de change, la loi sur les banques, la loi sur le transport des marchandises par eau et la loi sur la faillite et l'insolvabilité qui, quant à elles, codifient diverses parties du droit commercial relevant du gouvernement fédéral.
DROIT COMMERCIAL & NOUVELLES TECHNOLGIES
Au cours des dernières décennies, le droit commercial au Canada s’est adapté à une variété de facteurs technologiques, juridiques et non juridiques liés au nouvelles techniques de paiements et de transferts de fonds. Dans le domaine de la vente, les tribunaux et les parlements ont reconnu que le détaillant type est surtout un intermédiaire pour le fabricant qui produit les marchandises et qui stimule le marché au moyen d'une publicité intensive. De fortes pressions sont donc exercées pour que le fabricant soit directement responsable devant l'acheteur si les marchandises sont défectueuses, même si aucun contrat formel n’existe entre eux.
De plus en plus, le droit en matière d'effets négociables est fortement influencé par l'utilisation des systèmes électroniques de transferts de fonds (y compris l'utilisation des guichets automatiques dans le commerce de détail) et par le remplacement à grande échelle des chèques par les cartes de crédit. Pour leur part, les cartes de débit, qui permettent au compte bancaire de l'acheteur d'être débité du prix d'achat d'une marchandise ou d'un service au point d'achat, commencent elles aussi à supplanter largement l'utilisation des chèques.
L'importance grandissante des différents types de transactions induit également plusieurs changements dans le domaine du droit commercial. Au Canada, sept provinces (l'Ontario, les quatre provinces de l'Ouest, le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse), le territoire du Yukon et les Territoires du Nord-Ouest ont maintenant adopté des lois essentiellement semblables sur les sûretés mobilières en remplacement de vieilles lois telles la loi sur les ventes conditionnelles, la loi sur les hypothèques mobilières et la loi sur la cession des créances comptables. Pour leur part, l'Île-du-Prince-Édouard et Terre-Neuve devraient emboîter le pas dans peu de temps. Du coté de la province de Québec, notons que le nouveau Code civil comporte aussi des éléments inspirés de la même tendance.
L’information présentée ci-dessus est de nature générale et est mise à la disposition du lecteur sans garantie aucune, notamment au niveau de sa caducité ou de son exactitude. Cette information ne doit pas être interprétée comme étant un ou des conseils ou avis juridiques. Si vous avez besoin de conseils juridiques particuliers, veuillez consultez un avocat ou un notaire.